Mercredi dernier, l’entreprise de Mark Zuckerberg a dévoilé la dernière mise à jour dans les groupes. Et il serait possible d’empêcher la propagation de désinformation avec l’intelligence artificielle. Par conséquent, cela préserverait la sûreté et l’intégrité des groupes Facebook.
Des outils IA pratiques pour les administrateurs de groupe
Les administrateurs peuvent autoriser un logiciel à rejeter automatiquement les publications jugées fausses. En effet, la maison mère de Facebook rémunère plus de 80 médias dans le monde comme vérificateurs de faits.
Ces gérants de communautés en ligne peuvent agir strictement. Avec l’actualisation du bouton « suspendre », ils peuvent interdire temporairement à certains utilisateurs de publier, commenter ou participer autrement dans le groupe.
Les nouveautés concernent aussi l’élargissement des cercles. Effectivement, Facebook a automatisé le mode de traitement des demandes d’intégration des membres potentiels. De ce fait, approuver ou refuser les nouveaux participants se base sur des critères.
Ces derniers sont l’ancienneté du compte Facebook et la présence d’amis dans le groupe. Toutefois, d’autres fonctionnalités favorisent la promotion de la communauté. Ainsi, les administrateurs ont la possibilité de partager une adresse mail ou un code QR.
Fin de la liberté d’expression dans les groupes Facebook ?
Mark Zuckerberg voit les groupes comme un moyen de créer et réunir des communautés spécifiques autour de centres d’intérêts communs. Les administrateurs et les modérateurs de ces lieux d’échange établissent leurs propres règles de conduite.
Néanmoins, Facebook est en mesure de faire appliquer son règlement sur les contenus au sein de chaque groupe. L’apanage de la sûreté pour la prospérité de ces lieux de connexion motive cette décision.
Les utilisateurs du réseau social peuvent se rallier autour de thématiques allant de la nutrition aux actualités internationales. Donc, les groupes sont des terrains propices à la désinformation. Notamment au sujet de l’invasion russe de l’Ukraine, des élections ou encore de Covid-19.
Malgré les efforts perpétuels de contrôle de contenus problématiques, Facebook donne le choix aux administrateurs d’utiliser la fonctionnalité. De plus, les messages démystifiés restent visibles si le responsable du groupe les autorise.
Les groupes Facebook favorisent le relais rapide d’informations entre internautes. La véracité des propos est donc un devoir de conscience non négligeable pour l’entreprise américaine. Mark Zuckerberg poursuit la chasse aux faits trompeurs grâce à l’intelligence artificielle. Mais les administrateurs demeurent libres d’activer certains outils mis à disposition.
Un optimiste invétéré qui ne prend presque rien pour acquis. Du moins, je suis de ceux qui disent : « fais mieux qu’hier ».