
Nintendo frappe fort : Donkey Kong Bananza débarque exclusivement sur Switch 2 le 17 juillet, premier blockbuster de la nouvelle génération.
Le retour fracassant du gorille légendaire
Après 21 ans d’absence en 3D depuis Donkey Kong 64, le roi de la jungle revient en force dans un action-aventure révolutionnaire. Ce 17 juillet 2025 marque le lancement de la première exclusivité majeure de la Nintendo Switch 2, sortie le 5 juin dernier.
L’intrigue oppose DK au mystérieux groupe Voidco qui s’empare des bananes dorées lors d’un désastre frappant son île. Les niveaux ouverts permettent de tout saccager grâce aux capacités destructrices du gorille, transformant les éléments du décor en projectiles.
Nintendo mise tout sur ce titre pour booster les ventes de sa nouvelle console. Les 4,2 millions de Switch 2 écoulées depuis juin attendent leur premier jeu incontournable.
« Mon fils va me ruiner pour ce jeu »
Sandrine Moreau, 42 ans, mère de famille à Nantes, redoute déjà les négociations avec Lucas, son fils de 14 ans, fan absolu de la saga Donkey Kong. Le collégien économise depuis des mois pour s’offrir la Switch 2 à 399 euros.
« Il m’a montré les trailers sur YouTube. Les graphismes sont dingues, on dirait un film Pixar. Lucas me supplie de lui acheter le jeu à 69,99 euros le jour de sortie », raconte Sandrine, résignée.
Son mari Philippe a craqué en juin : « On pensait attendre Noël pour la console. Mais quand Nintendo a annoncé Donkey Kong exclusif à la Switch 2, Lucas nous a fait un chantage émotionnel terrible. »
La famille a investi 469 euros au total : « Console, jeu, manette supplémentaire… On n’avait pas prévu ce budget vacances d’été. Mais voir Lucas s’éclater en famille, ça vaut tous les sacrifices. »
Lucas confirme l’engouement : « Mes potes du collège ont tous craqué. Donkey Kong en 3D, ça fait 20 ans qu’on attendait ça. Les phases de destruction massive, c’est exactement ce qu’on voulait. »
Une stratégie commerciale imparable
Nintendo applique sa recette magique : créer la rareté avec une exclusivité attendue. Les précommandes explosent depuis l’annonce, forçant les distributeurs à limiter les stocks.
Julien Castex, 28 ans, gérant d’un magasin Micromania parisien, confirme la folie : « Depuis une semaine, c’est l’hystérie. Les parents appellent pour réserver Donkey Kong. J’ai déjà 200 précommandes pour un stock de 150 exemplaires. »
Il observe un effet d’entraînement : « Les gens viennent pour Donkey Kong et repartent avec des accessoires, d’autres jeux Switch 2. Le panier moyen bondit de 120 à 280 euros. »
Nintendo anticipe 2 millions d’exemplaires vendus le premier mois. Julien prédit une rupture de stock : « Comme pour Zelda ou Mario, Nintendo maîtrise parfaitement la pénurie organisée. »
Le pari technologique réussi
Donkey Kong Bananza exploite pleinement la puissance de la Switch 2. Les graphismes 4K en mode docké et la physique destructible révolutionnent l’expérience de jeu.
L’exclusivité temporaire (12 mois minimum) garantit à Nintendo un avantage concurrentiel face à PlayStation et Xbox. Ce titre system seller pourrait propulser la Switch 2 vers les 10 millions d’unités vendues avant Noël.
Le 17 juillet s’annonce comme un jour historique pour Nintendo : le retour triomphal de Donkey Kong coïncide avec l’envol commercial de la Switch 2.

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